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🕒 Temps de lecture : 10 minutes

Time to recycle : 5 aventuriers et leur équipement outdoor

Des vêtements qui ont voyagé jusqu’à l’autre bout du monde, des gourdes toutes bosselées en raison de petits accidents subis en chemin... Les aventuriers ne sont pas les seuls à faire le récit de leurs voyages ; les équipements qui les accompagnent racontent eux aussi leur propre histoire. A.S.Adventure proposera bientôt une recycle box pour tout ce matériel usagé. Vous pourrez y déposer vos vieux vêtements d’extérieur et vos chaussures de randonnée afin qu’A.S.Adventure leur offre une nouvelle vie. Pour célébrer cette nouvelle initiative, cinq globe-trotters évoquent un article de voyage qui leur a permis de vivre une aventure inoubliable.

Ine De Schutter et sa veste imperméable cassée au sommet du Kilimandjaro

Âge : 32

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Équipement : veste imperméable

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État : porté

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Nombre de km parcourus avec l’équipement : beaucoup. Des excursions d’une journée en Belgique aux voyages en Nouvelle-Zélande, au Chili et en Norvège.

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Meilleur souvenir avec l’équipement : un voyage en Patagonie. Point fort du voyage : un trek de plusieurs jours à Torres del Paine.

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Mauvais souvenir avec l’équipement : j’ai dû longuement réfléchir. Aucun en fait, sauf peut-être le moment où la fermeture éclair était cassée.

 

Une veste imperméable avec une fermeture éclair cassée n’est pas des plus pratiques. Mais quand cela se produit précisément au moment où vous atteignez - enfin - le sommet du Kilimandjaro, c’est vraiment rageant. C’est pourtant ce qui est arrivé à Ine De Schutter (32 ans), de Ranst, lors de vacances en Tanzanie. « L’ascension du Kilimandjaro dure six jours. Quatre jours d'ascension, deux jours de descente. Juste après l'ascension, ma fermeture éclair s’est cassée. » Il n’était donc pas possible de retourner rapidement à la voiture prendre une veste de rechange. Il a donc fallu se débrouiller avec les moyens du bord. « Grâce à des épingles à nourrice, nous sommes plus ou moins parvenus à la maintenir fermée. Heureusement, le temps a été clément durant le restant du voyage. »

 

Avant de déclarer forfait, cette veste imperméable avait fidèlement accompagné Ine neuf ans  lors de tous ses voyages. Ces derniers l’ont emmenée aux quatre coins du monde. Australie, Nouvelle-Zélande, Chili, Patagonie, Thaïlande, Norvège... La liste des destinations de voyage d’Ine est longue. « Cette veste et moi avons parcouru ensemble la moitié de la planète. Et je ne pense toujours pas que c’est suffisant », sourit-elle.

« Cette veste et moi avons parcouru ensemble la moitié de la planète. Et je ne pense toujours pas que c’est suffisant. »


Ine a reçu cette veste en cadeau de sa mère en 2010. « Je venais d’obtenir mon diplôme en facility management et me préparais à faire un voyage à vélo dans le Limbourg durant l’été avec une amie. » Les prévisions annonçant de la pluie, Ine a jeté son dévolu sur une solide veste imperméable. « C’était une veste de The North Face. À l’époque, j’avais un job étudiant chez A.S.Adventure pendant les vacances et je connaissais donc un peu les collections de vêtements. Je savais que c’était une bonne veste. Et j’ai d’ailleurs toujours été super contente de cet achat ! »

 

Ine a gardé la veste en dépit de sa fermeture éclair cassée. Elle a fait le voyage du retour depuis la Tanzanie et est maintenant accrochée chez elle, au portemanteau. « Je ne pense pas que je pourrai un jour m’en défaire », dit-elle. « Trop de souvenirs y sont liés. Ça m’arrive aussi avec d’autres vêtements. Par exemple, j’ai acheté des chaussures Converse All Star en Australie, dont je ne me débarrasserai jamais non plus. Je n’y arriverais vraiment pas - ces chaussures ont foulé le sol australien. »

 

À l’occasion d’un voyage en Inde qu’elle a tout juste eu le temps de faire avant le premier confinement en 2020, Ine a acheté une nouvelle veste imperméable. Celle-ci était moins chère et ne lui a pas procuré la même sensation. « Je vais quand même lui donner une nouvelle chance lors d’un week-end dans les Ardennes qui se profile à l’horizon », déclare Ine. « Mais il est peut-être quand même temps de réinvestir dans une veste solide. Si comme moi, vous aimez être beaucoup à l’extérieur, un bon équipement est nécessaire. »

 

Koen Mutton et son pantalon déchiré lors d’une collision avec une vache

Âge : 31 jaar

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Équipement : pantalon

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État : très bon, mais raccommodé

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Nombre de km parcourus avec l’équipement : plus de 35 000 km (mais pas toujours à pied)

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Meilleur souvenir avec l’équipement : une randonnée sensationnelle à la frontière togolaise. Les orages faisaient rage, mais les panoramas incroyables.

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Mauvais souvenir avec l’équipement : quand mon pantalon a été déchiré quelques semaines seulement après l’avoir acheté, suite à une collision avec une vache

Alors qu’il étudiait encore la photographie, Koen Mutton (31 ans), de Schiplaken, rêvait déjà de faire quelque chose de spécial pour son projet de fin d’études. « Je n’avais pas envie de faire un stage chez un photographe ici en Belgique. Je voulais faire plus que tenir des lampes. » En 2016, il s’est donc rendu au Ghana pendant trois mois. « J’y travaillais sur un projet concernant l’eau. Mon intention était d'illustrer comment les Ghanéens accèdent à l’eau. »

 

Lors d’un trajet en bus, Koen est passé devant un endroit où des gens lavaient du linge. Il souhaitait s’y rendre pour prendre des photos. « Je suis descendu à l’arrêt suivant et j’ai commencé à marcher en direction du pont. Soudain, un homme à moto s’est arrêté à côté de moi. Il m’a demandé si j’avais besoin d’un lift. Il faisait 40 degrés et je portais un sac à dos très lourd. Je me suis dit que ça tombait bien. » Et Koen s’est installé à l’arrière de la moto. « Nous avons roulé sur des routes en terre battue pleines de nids de poule. À un moment donné, il y avait une vache au milieu de la route. Mon chauffeur continuait de rouler à pleine vitesse. J’ai pensé : ‘Maintenant, il va ralentir’. » Mais il ne l’a pas fait. « Juste au moment où on passait, cette vache a sauté devant notre moto. Il était impossible de l’éviter. Nous l’avons donc percutée de plein front. »

 

Les mains de Koen étaient ensanglantées, sa hanche écorchée. Mais surtout, son pantalon préféré, acheté spécialement pour ce voyage, était en lambeaux. « Il ne ressemblait plus à rien. J’étais vraiment ennuyé que mon pantalon soit plein de déchirures et de trous. Par contre, le fait d’être légèrement blessé me laissait complètement de marbre », sourit Koen.

« Il n’était plus possible d’éviter la vache au milieu de la route. Nous l’avons donc percutée de plein front. »


La vache a déguerpi, Koen s’est relevé et a décidé de poursuivre son voyage à pied. « Le motocycliste m’a proposé de remonter derrière lui, mais j’ai poliment refusé », raconte Koen. Le pantalon déchiré et les mains douloureuses, Koen a quand même fini par prendre des photos de la scène de lessive sous le pont. Elles lui rappelleront toujours le jour où il est entré en collision avec une vache. Et son merveilleux séjour au Ghana.

 

Et le pantalon ? « Je le porte toujours. De retour à la maison, j’ai cousu des empiècements sur les déchirures. Je l’ai emporté dans presque tous les voyages que j’ai faits. Zanzibar, le Maroc, les Alpes... Il a traversé beaucoup d’épreuves », explique Koen. « Il me rappelle tellement de souvenirs, amusants ou pas, que je ne m’en débarrasserai probablement jamais. »

Sabrina Dietz et la corneille affamée sur son sac de couchage

Âge : 29

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Équipement : sac de couchage

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État : usé.

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Quelques trous et morceaux brûlés à cause de la proximité du feu de camp, mais toujours en état d’utilisation

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Nombre de km parcourus avec l’équipement : environ une centaine de sorties en camping

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Meilleur souvenir avec l’équipement : la corneille qui s’est posée sur mon sac de couchage

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Mauvais souvenir avec l’équipement : une nuit de tempête sous la tente qui m’a empêchée de fermer l’œil

Il y a deux ans, l’amour a conduit Sabrina Dietz (29 ans), originaire d’Allemagne, jusqu’à Haacht, en Belgique. Mais la plus amusante de ses aventures s’est déroulée en Norvège. « J’ai étudié l’écologie appliquée en Norvège et j’ai vécu là-bas en pleine nature, à vingt kilomètres de la ville la plus proche. La nature y est fantastique. J’allais camper aussi souvent que possible. Seule, avec des amis ou avec mon compagnon belge que j’ai rencontré là-bas. En Norvège, le camping sauvage est toujours autorisé. Il nous arrivait donc assez souvent de boucler nos sacs à dos et d’aller en forêt pour passer la nuit au milieu de nulle part. »

 

Mais c’est avec une amie que Sabrina a entrepris son aventure la plus inoubliable. « Le temps était magnifique ce week-end-là. Nous avons pris notre sac à dos, des vêtements chauds, un peu de nourriture et nous sommes parties. » Leur tente est restée à la maison. « Nous gardions toujours un œil sur les prévisions météorologiques. Et si une nuit chaude était annoncée, nous dormions à la belle étoile. C’était toujours merveilleux. »

« J’ai senti quelque chose appuyer sur mon corps. Quand j’ai levé les yeux, j’ai vu une corneille sur mon sac de couchage. »


Et ce fut aussi le cas cette fois-là. « Nous avions trouvé un endroit sympa où nous nous étions installées pour la nuit. Nous avons fait un feu et mangé ensemble. C’était une soirée agréable. » Au moment de se coucher, Sabrina et son amie ont déroulé leurs sacs de couchage. « Le feu a continué à brûler pendant un certain temps, mais le froid est ensuite tombé très vite. La température a chuté si fortement la nuit qu’il est devenu difficile de dormir. Mes pieds sont restés froids toute la nuit. » À l’aube, Sabrina s’est réveillée. « Mon sac de couchage était recouvert d’une fine couche de glace. Il faisait si froid que je ne voulais pas encore me lever. » Sabrina s’est alors rendormie. Quelques heures plus tard, elle a été réveillée par une étrange sensation. « J’ai senti quelque chose appuyer sur mon corps. Quand j’ai levé les yeux, j’ai vu une corneille sur mon sac de couchage. Ça m’a foutu la trouille. »

 

La corneille s’agitait un peu de haut en bas. « On aurait dit qu’elle essayait de savoir si j’étais encore vivante. Peut-être espérait-elle faire de moi son prochain petit-déjeuner », dit Sabrina en riant. Elle est restée aussi immobile que possible et a apprécié la scène. Après une minute tout au plus, c’était fini. « Je pense que la corneille a senti que je respirais encore. Soudain, elle s’est envolée. »

 

Et son amie ? Elle a dormi pendant toute l’aventure. « Quand elle s’est réveillée, je lui ai bien sûr tout de suite tout raconté. On en a bien ri. Cela restera à jamais l’un de mes meilleurs souvenirs de mes nombreux séjours en camping sauvage. »

Linde Debbaut et ses chaussures brûlées

Âge : 26

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Équipement : chaussures de randonnée

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État : plus qu’usées

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Nombre de km parcourus avec l’équipement : difficile à dire, mais énormément

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Meilleur souvenir avec l’équipement : de superbes randonnées en Norvège, en Italie, en France, aux Pays-Bas…

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Mauvais souvenir avec l’équipement : devoir continuer à marcher sans semelles et avec des ampoules aux pieds après de longues randonnées

« Les hauteurs ne sont pas ma tasse de thé », déclare Linde Debbaut (26 ans) d’Aarschot. Elle était donc la seule dans la famille à se montrer sceptique à l'idée d'un après-midi de canyoning lors d’un voyage en Italie. Mais elle a quand même fini par les accompagner. « J’ai trouvé ça agréable. Ce n’est que lorsque nous avons dû descendre en rappel une paroi rocheuse que j’ai commencé à douter. Je n’avais plus qu’une pensée en tête : ‘Comment vais-je y arriver ?’ » Linde n’a donc pas trouvé de meilleur moyen que de faire des mini-pas contre la paroi rocheuse, jusque tout en bas. « Ces rochers se trouvaient en plein soleil et étaient bouillants. Y poser les pieds n’était évidemment pas une bonne idée. Mais je n’ai pas osé faire autrement. »

 

Après quelques heures de canyoning, la semelle des chaussures de Linde avait complètement fondu. « L’avant commençait aussi à se détacher. J’ai fini par les enlever pour parcourir la dernière partie pieds nus. Heureusement, nous ne devions plus sauter d’aucune falaise, je devais juste marcher dans l’eau. »

« Les instructeurs se sont payé une bonne tranche de rire avec moi. »


Et qu’en ont pensé les autres participants et les instructeurs ? « Ils se sont payé une bonne tranche de rire avec moi », raconte Linde, qui reconnaît elle-même le comique de la situation. Elle a laissé ses chaussures - ou ce qu’il en restait - en Italie. « J’en ai acheté une nouvelle paire pendant ce voyage. Je les ai toujours. »

 

Après ce voyage, Linde ne s’est plus jamais risquée au canyoning. L’Italie reste cependant une destination favorite. « C’est un magnifique pays. Florence est ma ville préférée. On y trouve de l’art et de la culture tout en étant proche des montagnes. Je suis partie en Erasmus en Italie. Lors de ce séjour, mon amour pour ce pays n’a fait que croître. Entre-temps, je parle aussi la langue. Cela aide beaucoup. Dès que vous parlez deux mots d’italien, les habitants sont cent fois plus sympathiques et vous portent aux nues », sourit Linde.

 

Depuis que le coronavirus la tient éloignée de l’Italie, Linde s’aventure à l’intérieur de nos terres pour ses aventures pédestres. « J’ai une très longue liste de randonnées que je voudrais faire en Belgique. La randonnée des échelles à Bouillon se trouve tout en haut de ma liste. L’objectif est de parcourir 1 500 kilomètres d’ici la fin de l’année. »

Gilles Struyf et sa gourde toute bosselée

Âge : 23

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Équipement : gourde

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État : usée

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Nombre de km parcourus avec l’équipement : 15 pays  (Maroc, Écosse, Espagne, Italie, Slovénie, France, Allemagne, Danemark, Belgique, Pays-Bas, Luxembourg, Irlande, Angleterre, Autriche et Suisse)

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Meilleur souvenir avec l’équipement : après une terrible randonnée matinale dans l’obscurité et dans la neige, j’avais atteint le plus haut sommet d’Afrique du Nord : le mont Toubkal ! Et là, le plaisir de se désaltérer tout en profitant de la vue sur le lever du soleil au-dessus du Haut Atlas et du Sahara occidental. 

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Mauvais souvenir avec l’équipement : lors de mon voyage en Italie et en Slovénie, j’ai failli perdre ma gourde à l’aéroport. 

Gilles Struyf (24 ans) a déjà failli rater un vol parce qu’il voulait absolument retourner à la voiture récupérer sa gourde. C’est dire combien il y est attaché. Il y a aussi tellement de souvenirs qui y sont liés. « J’ai acheté cette gourde en 2018, lorsque je suis parti randonner seul en Écosse. Aucun de mes amis n’avait envie de partir en randonnée cet été-là, j’y suis donc allé seul. C’était ma première véritable aventure. Et c’était magnifique. La nature, les panoramas, je n’avais jamais rien vu de tel. »

 

Depuis ce premier voyage, Gilles a pris goût à la randonnée. « Entre-temps, j’ai fait plusieurs voyages sympas. Avec ma sœur et un ami, nous sommes allés marcher dans les Dolomites. Nous y avons fait une randonnée de treize jours en neuf jours. J’ai aussi effectué l’ascension du Toubkal, la plus haute montagne d’Afrique du Nord. »

« Je me souviens exactement de chaque moment où une bosse s’est ajoutée à ma gourde. »


Sa gourde l’a accompagné partout. « Elle est toute bosselée maintenant. Mais c’est justement ce qui la rend si spéciale », déclare Gilles. Car chaque bosse lui rappelle un moment particulier. « Je me souviens exactement de chaque moment où une bosse s’est ajoutée à ma gourde. » En Écosse, par exemple, ma gourde se trouvait dans une poche latérale de mon sac à dos. Elle n’était pas bien fixée et est donc tombée sur un rocher quand je me suis penché pour rattacher mes lacets. Bam, première bosse. »

 

Entre-temps, la gourde de Gilles est tellement abîmée qu’un ami a voulu lui en offrir une toute neuve pour son anniversaire. « Mais j’ai refusé. Je veux garder la mienne. Je l’utilise tous les jours et l’emmène même au travail. Elle me rappelle chaque jour les merveilleux voyages que j’ai déjà entrepris. »

 

Et elle fait rêver Gilles aux aventures qui l’attendent encore. « Cet été, j’aimerais parcourir le célèbre sentier de la voie royale ou Kungsleden en Suède. Ou effectuer le Tour du Mont Blanc en France. » Des vacances à vélo avec des amis figurent également sur sa liste de souhaits. Du moment que c’est dans la nature, tout est bon pour Gilles. « J’aime être en pleine nature. Profiter de la vue et découvrir de nouveaux paysages. Seul ou avec quelques amis. » Randonner des jours entiers en ne croisant pratiquement personne sur son parcours, c’est autre chose que d’aller s’allonger sur les plages d’Ibiza. Gilles et sa gourde préfèrent éviter ce dernier type de voyage. « Je préfère les voyages plus rudes. Je veux admirer la nature en la parcourant à pied. En l’affrontant par moi-même, quel que soit le temps. »

Return your gear : que pouvez-vous nous retourner ?

Vous avez envie d’acheter une nouvelle tenue d’extérieur ou une nouvelle paire de chaussures de randonnée, mais vous ne voulez pas contribuer aux déchets de demain ? Nous non plus ! Grâce à la recycle box dans nos magasins, vos vêtements et chaussures peuvent encore servir, même s’ils sont déchirés, troués ou tachés !

N’hésitez pas à y déposer (dans un sac ou une boîte fermés) :

  • Vêtements et accessoires vestimentaires
  • Chaussures (par paire)
  • Textiles ménagers (serviettes, linge de table, couvertures, draps...)
  • Sacs à main
  • Ceintures

Faites plaisir à la ressourcerie locale :

  • Sacs de couchage
  • Tentes
  • Sacs à dos
  • Bottes de ski ou de snowboard et patins à glace
  • Coussins
  • Chutes de tissu ou coupons

Eastpak offre également une nouvelle vie aux équipements de plein air mis au rebut ou endommagés. La collection RE-BUILT TO RESIST transforme les sacs à dos cassés en objets uniques.


Vous souhaitez partir en randonnée avec une gourde propre, tant au sens propre qu’au sens figuré ? Grâce au label Climate Neutral Certified, Klean Kanteen s’engage à la neutralité carbone totale.


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